Ils peuvent vivre jusqu'à environ 250 + ans certains même jusqu'à trois fois l'age d'un Elezeen et donc les 450 ans ce qui reste rare. Le Viera conservera sa jeunesse physique, rendant presque impossible de discerner son âge simplement à partir des apparences extérieures pendant au moins deux sciècles.  le mot Viera lui-même signifie «peuple des bois», et fidèles à ce nom, les Rava et les Veena ont élu domicile exclusivement dans la jungle de Golmore, ou dans les forêts primitives qui bordent les contreforts sud-ouest de la chaîne de Skatay, respectivement.

 

Les Vieras sont de grande taille et de silhouette élancée, l'apparence physique du Viera est étonnamment similaire à celle des Hyur et Elezen, à l'exception de leurs longues oreilles distinctives. Adhérant à un code strict connu sous le nom de Vert Mot, il leur est interdit tout contact avec le monde extérieur sous peine d'exil, à moins que cela ne soit absolument nécessaire. Leur société est purement matriarcale et les hommes majeurs sont rarement, voire jamais, trouvés dans les limites d'un village. Ils servent plutôt de protecteurs du bois de l'ombre, afin qu'aucun mal ou intrus ne puisse jamais empiéter sur leurs terres sacrées, on les appelle les gardes bois. On estime que plus de huit Viera sur dix sont nées de sexe féminin.

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Les hommes ne sont genré ainsi qu'à l'adolescence entre 10 et 15 ans, où leur corps fini de se développer. Avant cela, ils sont tous considéré comme des Kiits essayant de pas trop les genré, le feminin sera tout de même majoritairement utilisé vu le peu de naissance d'homme si vous utilisez une langue genré comme le français en parlant de soeurs par exemple en attendant de savoir. Le sexe est cependant bien déterminé à la naissance. La femme et l'homme se ressemblent et il n'y a aucun moyen de les distinguer avant la puberté où les changements dans le corps deviennent plus apparents et ce n'est qu'alors que nous sommes capable de dire clairement leur sexe.

 

Après la majorité (vers 19/20 ans), le vieillissement devient extrêmement lent et ils vieillissent tout en gardant leur apparence jeune. Les femmes vivent au village, et les hommes sont envoyés loin de celui ci, pour protéger les alentours, n'ayant le droit de revenir que tout les 3 à 5 ans pour la reproduction. Une fois la maturité atteinte, se sont ses mêmes hommes qui viennent prendre les jeunes garçons avec eux pour protéger les bois et les former. Ils vivent en total autonomie que se soit pour la fabrication de leur arme, se nourrir et toutes autres commodités. Vu comme des gardiens, les tribus des abords qui les croisent sur leur territoire les voient d'un œil bienveillant et ne disent rien.

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Ce n'est qu'après d'innombrables saisons d'entraînement et un strict respect du vert mot que les plus jeunes eux-mêmes gagneront le titre de maître et seront autorisés à rechercher la solitude. D'autant plus que quelques-uns périront au cours de ce rite de passage brutal, amincissant davantage les mâles de la tribu, jusqu'à ce qu'il ne reste que ceux avec la graine la plus forte.

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Jusqu'à récemment, peut-être au cours des dernières générations, une Viera vivant en dehors de sa patrie était inconnue, et ceux qui abandonnaient leurs tribus étaient considérés comme des parias. Les Viera qui ont élu domicile dans les villes ont tendance à être tenus en haute estime, leur petit nombre prêtant à leur air de mystère. Il n'est pas rare que des membres de la classe supérieure se séparent d'une grande partie de leur richesse simplement pour être vus avec une femme Viera à la réputation insaisissables.

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A savoir que si un ou une Viera quitte son village, il est tenu d'abandonner son nom de famille, qui bien souvent est lié à son village. Il se trouve alors un nouveau Prénom dans une grande majorité des cas, souvent choisit d'après des mots communs qui les inspires.

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La jungle de Golmore est une bande infinie d'émeraude immaculée située dans le coin sud-est de Dalmasca, à la frontière de Nagxian. Les climats chauds et humides de la région ont donné naissance à une étendue presque impénétrable de sentinelles imposantes et de tourbières bruyantes dans lesquelles toutes sortes de flore et de faune sont autorisées à s'épanouir sans l'intervention de l'homme.

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Les femelles, sont beaucoup plus ouvertes dans leur relation avec le bois, bien que j'utilise le terme « ouvert » dans son sens le plus lâche. Plus que simplement défendre la forêt, ils cherchent aussi à l'entretenir : défricher les sous-bois, enlever les arbres tombés, planter des graines, éradiquer la vermine. Les efforts des anciens rois pour placer les terres de Viera sous la domination dalmascane se sont heurtés à l'indifférence ou à la violence. Ces derniers temps, Rabanastre a laissé aux Viera leur autonomie, avec la promesse que les villages ne s'inclineront pas contre le trône.

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Les Viera se sont toujours méfiés des étrangers. Pendant des siècles, leurs nombreuses tribus sont restées cachées dans les jungles, satisfaites de leur solitude auto-imposée. Chaque tribu a son propre code strict et infligera une punition rapide à quiconque défierait ces lois. En tant que telles, de nombreuses Viera passeront toute leur vie liées au territoire de leurs ancêtres, à la fois réticentes et incapables de s'aventurer au-delà de ses frontières. Et bien que les tribus soient totalement indépendantes, elles ont accepté de respecter une norme unique : éviter tout contact avec le monde extérieur, sauf pour protéger la jungle. Cela dit, à chaque génération, il y a ces Viera qui aspirent à une vie au-delà de la mer verdoyante d'arbres et abandonnent leurs tribus pour commencer une nouvelle vie dans les villes du royaume.

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Les prénoms Viera traditionnels donnés à la naissance sont également appelés « noms de forêt », car ils sont utilisés par les Viera résidant encore dans leur pays d'origine, qui est la jungle de Golmore, dans le cas de la Rava, ou la forêt longeant la chaîne de Skatay pour la Veena. Les noms de forêt ressemblent à des noms islandais du monde réel et se prononcent de la même manière : dans les noms « Theja » et « Nojra », par exemple, le « j » ressemble davantage à un « i » anglais.

 

Dans la pratique, cependant, on rencontrera rarement une Viera utilisant son nom de forêt, car ceux qui choisissent de quitter leurs maisons et de se lancer dans le monde plus large choisiront généralement de nouveaux «noms de ville» pour eux-mêmes pour marquer leur séparation de la manière traditionnelle de Viera. de la vie. Ces noms choisis sont souvent inspirés par les noms d'autres races qu'ils rencontrent, ou simplement par des choses qu'ils aiment, telles que « Cherry » ou « Morning Glory », et varient donc considérablement d'un individu à l'autre. Soit dit en passant, « Fran » est l'un de ces noms. »

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Les Viera sont un peuple tellement particulier que l'ancien roi de Dalmasca, plutôt que de les soumettre, a choisi de leur accorder leur indépendance à condition qu'elles ne prennent jamais les armes contre son royaume.

 

Les Vieras n'avaient pas la même vision du couple et de la famille que les autres peuples.

 

Pour eux, la distance entre les êtres n'a aucune importance car ils sont tous unis dans une communion permanente avec l'esprit de la forêt, grâce à leur collaboration parfaite pour préserver leur mode de vie.

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