De stature trapu et rond, les Lalafells sont de loin la plus petite des races d'Éorzéa. Conservant généralement une apparence jeune même en vieillissant, le véritable âge d'un Lalafell est souvent difficile à déterminer pour les membres d'autres races. Tout au long de l'histoire, les Lalafell ont transmis leur histoire à travers la chanson, c'est pourquoi, même maintenant, beaucoup utilisent des allitérations lourdes dans leur discours. Leur audition est  extrêmement sensible et précise.

​

Bien que de légères différences d'apparence physique soient apparues au cours des nombreuses générations passées à vivre séparément, les deux clans ne nourrissent aucun ressentiment particulier l'un pour l'autre, et les mariages entre clans sont monnaie courante, de nombreux Lalafell possédant aujourd'hui du sang des deux clans.

 

Tout en accordant une grande importance aux liens familiaux, les Lalafell ne sont en aucun cas exclusifs. Cela se manifeste dans les relations cordiales qu'ils entretiennent avec leurs semblables et le succès qu'ils ont obtenu en tant que race de commerçants et de marchands. Bien que leur nature singulièrement axée sur les affaires puisse les conduire à être perçus comme avides et calculateurs, peu peuvent trouver dans leur cœur une aversion totale pour les Lalafell, avec leur nature intrinsèquement brillante et joviale. En tant que tel, les exemples de Lalafell persécuté par d'autres races sont rares.

​

Un élément distinctif de l'habit traditionnel Lalafell est l'écharpe, qui remplit également une fonction éminemment pratique - elle peut être déployée pour servir de drapeau de signalisation sur les mers larges ou les vastes déserts, permettant à un Lalafell de se démarquer au-delà de sa modeste stature. Ils sont également connus pour privilégier les vêtements décontractés et amples qui dissimulent leurs corpulences naturellement rondes.

​

Maîtres de la science et de la nature, de la magie noir et du divin, les alchimistes assurent leur subsistance grâce à la transmogrification de matériaux mondains en eaux merveilleuses, des concoctions curatives aux boissons puissantes. L'école d'Ul'dah n'a été reconnue que récemment dans les cercles scientifiques comme une branche valable de l'orthodoxie alchimique. Il est basé sur des principes fondamentaux issus de la tradition du Proche-Orient, mais s'appuie également fortement sur des éléments ésotériques de l'herboristerie Lalafellin et de l'occultisme Miqo'te.

​

Origine de leur Terre Natale : 

​

Les mers situées loin au sud d'Éorzéa regorgent également d'innombrables îlots minuscules. À l'exception des grains occasionnels, la proximité de l'équateur d'Hydaelyn confère à ces îles un climat chaud et agréable. C'est de ces îles que les Lalafell sont originaires, utilisant des navires semblables à des catamarans propres à leur civilisation pour voyager à travers les eaux illimitées et vers les Grands Continents. L'interaction entre Éorzéa et les îles du sud est remarquablement abondante, la plupart des échanges passant par Limsa Lominsa et ses ports très fréquentés. Il est également bien documenté que l'arcanima - l'école à partir de laquelle les arcanistes tirent leur art - est originaire de ces îles et a été amenée à Vylbrand par des immigrants Lalafell dans le royaume.

​

les Lalafell ont progressivement migré vers Éorzéa au fil des ans à la poursuite du commerce. Au cours de la cinquième ère astrale, ils ont joué un rôle clé dans la fondation de la ville de Nym sur Vylbrand, ainsi que de la ville mystique de Mhach dans les basses terres de Yafaem. Lorsque les deux civilisations sont tombées sous la sixième calamité ombrale, les Lalafell ont été contraints de chercher de nouvelles maisons. Les Lalafells accueillent les étrangers et partagent des relations prospères avec toutes les autres races d'Éorzéa.

​

​​La calamité de l'eau : « Les quelques citoyens nymiens restants qui n'avaient pas été touchés par la peste verte ont évacué vers le nord dans les régions montagneuses de la Noscea extérieure, alors que les Royal Marines commençaient leur ambitieuse opération Maelstrom. Alors que la Grande Compagnie réussit à faire reculer la plus grande des houles, les mages n'ont pas pu empêcher les dizaines de vagues suivantes de pulvériser leur cité-État côtière. Les terres conquises par la mer ont été réduites à des récifs rocheux, ne laissant rien d'autre vers lequel les quelques survivants de Nym pourraient retourner.

​

Symbolisme du Maelstrom : « Le nom « Maelstrom » provient d'une ancienne Grande Compagnie sur Vylbrand - établie par la civilisation maritime de Nym à la veille de la cinquième ère astrale. Dans les jours qui ont précédé l'arrivée des grandes inondations de la sixième calamité ombrale, les Nymian Royal Marines ont convoqué la Grande Compagnie pour sauver la vie de leurs citoyens. Navires à voile dans la baie de Nym - ce qu'on appelle maintenant la baie de Galadion - les Marines ont tracé une géométrie magique sur la surface de l'eau. Alors que des vagues imposantes se sont abattues sur la ville, elles ont invoqué un tourbillon encore plus puissant pour avaler la colère de la mer. À travers le temps acheté avec la vie de nombreux soldats et érudits, cette stratégie a donné aux habitants de la ville le temps de s'échapper dans les montagnes. Cependant, la force du tourbillon et des vagues plus petites qui ont suivi ont balayé la capitale de la civilisation. Nym n'était plus, et ses citoyens survivants ont abandonné Vylbrand pour chercher fortune ailleurs.